 Sujet: Leam Jedusor ~ a mort les fraises ! Jeu 29 Sep - 6:19 | |
| Leam Jedusor  © crédits.« fraise tagada »
Les fraises, c’est le mal. Les fraises, c’est une invention créé par le diable pour tourmenter les pauvres âmes comme moi … les fraises, c’est rouge et vert – donc moche – ça colle et c’est mortel ! Du moins pour moi … Et ce gâteau a la fraise posé au milieu de la table est une arme aussi dangereuse qu’un bon A.K bien placé !
Revenons à pourquoi je suis dans cette situation délicate …
2heures plus tôt
Nous avons été invités par papi et mami pour un repas de famille. C’est toujours un moment digne des anales – les livres ! – quand ça arrive. Mamie est déjà quelqu’un de particulier, mais alors papi, c’est l’excentrique de base … Et en fait je suis sure qu’il le fait exprès, mais je n’ai pas encore de preuve. Je suis sure d’en avoir bientôt cela dit ! – j’ai emporté mon appareil photo avec moi – je le prendrai sur le fait ce petit sourire en coin qui dit « ah, je vous ai bien eu, et vous, pauvre mortel, vous n’y avez vu que du feu ! ». Je suis pas une drama queen, déjà je ne suis pas une Queen, merci bien, et je n’exagère pas. Grand père, non papi, prend un malin plaisir à faire penser aux gens qu’il est « sénile » ou presque, alors que ce n’est pas du tout le cas. Ces blagues pourries, ces faux trous de mémoire et ses autres choses qui arrivent aux « vieux », il les imite bien, mais j’arrive à voir à travers son masque. Oh, j’ai failli m’y faire prendre, moi aussi au début, mais je ne suis pas un Serdaigle pour rien.
Bref, tout ça pour dire que nous sommes invités à manger chez les grands parents, quand maman s’apprête à sonner, la porte s’ouvre la volée. Ils sursautent tous – je vois pas pourquoi papi fait le coup à chaque fois, personnellement ça ne me touche plus, je sursauterai plus s’il ouvrait la porte doucement ! – et papi nous accueil avec un grand sourire – sournois je vous dis, il est sournois !! – et les bras ouverts. Nous recevons tous notre « câlin » avant d’être aspirés par la maison – moi je l’appelais le château de la princesse quand j’étais plus petit, ça ressemble au palais du tsar ici … - et emmené vers le salon.
Une fois là-bas, comme il est de coutume, les parents et grand parents ont pris un verre d’alcool – interdit à ma personne et à celle de ma sœur [égoïstes !] – et un jus de fruit pour nous, ainsi que des crackers et tout ce qu’il faut pour faire un apéro. Une fois ces mondanités enclenchées nous avons parlé. Et je ne parle pas de ces petites discussions ou votre grande tante trois fois maudite – aie mes joues ! – vous parle de kiki – son chien chihuahua – et de sa dernière manie – manger ses chaussettes roses. Non je vous parle de discussion bien plus profonde ! : Quand séraphine ou moi-même aurons-nous un ou une petite amie à ramener à nos grand parents que nous aimons de tout notre cœur ? – jamais ! Si j’ai le choix, je fuirai loin avant de leur présenter qui que ce soit !! – sentez le sarcasme dans le mot « profond ». Je détourne les yeux et séraphine regarde ses ongles. Vraiment, qui a envie de parler de ça avec ses parents ou ses grand parents ? Faudrait être masochiste pour entamer une discussion pareille avec eux !
Voyant qu’aucun de nous ne répondrait – jamais ! – à la question, mami nous fit signe de passer à table – nous étions resté silencieux dix minute entière, avec leurs yeux de rapace fixés sur nous ! – pour le repas … J’aime els repas de mami, ce qu’elle– les elfes – fait est toujours très bon ! Nous avons eu le droit en entrée à une purée de petit poids avec sa pluie de noisette, en plat principale un filet mignon absolument exquis, et un fromage à vous décoiffer un français !
Nous en sommes à présent au dessert – appelons le l’Aberration – un Fraisier. Mes yeux remontent lentement le long du gâteau pour se fixer d’abord sur mon grand-père, qui a un sourire extatique aux lèvres, puis sur ma sœur – hello miroir ! – avant que mes yeux ne se posent sur ma grand-mère et que mes sourcils ne se lèvent dans une question silencieuse. Elle met sa mains devant la bouche et je lâche un soupire a vous déraciner un arbre : ils ont encore oublié … Moi je suis sure qu’ils font exprès …
- C’est pas grave, je peux me passer de dessert …
Ma voix ne doit pas être convaincante – j’aime les desserts non d’un hippogriffe ! – car grand-mère, non, Mami secoue la tête et claque dans les mains. Un elfe de maison arrive avec une religieuse sur un plateau en argent et je le regarde comme s’il était Merlin en personne. La petite créature – très laide soit dit en passant – vient poser la pâtisserie devant moi et je la remercie en souriant. Ah, erreur. Remercier un elfe de maison est une erreur, car ils se mettent toujours à pleurer en remerciant pendant des heures « la magnifique, très grande et parfaite » personne qui leur a dit merci … Après on se demande pourquoi personne ne leur dit jamais merci hein … pff.
Le repas se termine et nous nous réunissons tous autour de la table du salon pour parler jusqu’à ce que la nuit tombe, que les fées sortent de leur cachette et que les loups hurlent …
Encore un repas tout ce qu’il y a de plus normal chez les Jedusors.
Comme tout bébé magique – dont le parent n’a pas été coincé à la maison par une tempête magique – je suis né à Sainte Mangouste … Dans cet hôpital magique ou la magie bourdonne tant elle est présente – presque autant qu’à Poudlard – concentrée et utilisée. Posé dans les bras de ma mère, je fus la fierté de mes parents, qui m’appelèrent Leam, qui vient de Leme « le rayon de lumière ».
J’ai eu une enfance heureuse, avec un Père présent à toutes mes représentations de violon – magique ou pas – une mère toujours prête à me faire des gâteaux – et m’ayant donnée une petite sœur a l’âge de 3 ans – une grand-mère intelligente et présente, et un grand père loufoque et protecteur.
Quand ma petite sœur est née, ce fut un grand évènement. Un nouveau membre pour la famille et de plus une petite princesse. En voyant cette petite betterave fripée … hum, ma petite sœur dans son couffin, mon petit moi de trois ans n’a pas un seul instant pensé que je deviendrai un grand frère protecteur et possessif … Déjà à 7 ans je refusai de la laisser seul, il me fallait toujours avoir un œil sur Séraphine, même si c’était à l’autre bout de la pièce. C’était la Princesse et moi le Chevalier Protecteur. Rien ni personne ne devait pouvoir lui faire du mal.
En grandissant j’ai fait la rencontre de plusieurs personne connues – Grand Père fut le premier bien sûr, puis il y a eu les Malfoy et Harry Potter, et bien d’autre … - même si j’étais trop « petit » pour être d’un intérêt quelconque pour eux, moi ils me fascinaient. Harry étaient bien sûr le plus « intéressant ». Le fait qu’il ait ce lien avec grand père – je sais qu’écouter aux portes c’est mal, pas la peine de me le rappeler ! – et qu’il soit un fourchelangue lui aussi – j’avoue avoir ressenti une jalousie intense à son égard pour ce don – était une manifestation de la magie qui me maintenait en haleine à chaque fois. Déjà à cet âge je voulais savoir : pourquoi ? Comment ? Où ? Avec quoi ? Pour qui ? etc. A l’âge de 10 ans je suis entré dans cette phase que les parents appellent « Enfer » ou « La Phase de Pourquois ». En effet, a toute chose qu’on me disait, je voulais savoir pourquoi, et je le demandai. A la fin, comme tout parent, ils se résolurent à répondre « parce que », même si je dois avouer que pendant deux mois ils essayèrent de répondre autant que faire se peut.
11 ans & Poudlard
 l’âge de 11 ans, comme tout enfant magique anglais normalement constitué, je reçue ma lettre de Poudlard, école de Magie pour Sorciers et Sorcières. Si vous le répétez a qui que ce soit je nierai tout en bloc, mais j’avoue avoir été tellement excité que je me suis conduit comme un sale gosse de 7 ans pendant deux jours entiers … Demandant à tout vas « on y va quand ? », courant à droite à gauche pour essoufflé mon trop grand enthousiasme et envie que le temps avance plus vite, et autre joyeusetés que font les enfants quand ils sont excités …
Vint le moment de se rendre au Chemin de Travers, afin d’acheter mes fournitures scolaires ainsi que ma baguette … Bien sur je connaissais déjà quelques sorts – et avais pratiqué avec la baguette de papa – mais j’allais enfin en avoir une, une baguette a moi et moi seul, et cela m’excitait bien plus que le balais miniature que grand père m’avait offert l’année dernière !
Une fois devant le vendeur de baguette – vieux crouton rabougris et sénile moi je dis ! – il m’en passa 5 avant que je ne trouve la mienne. La première m’explosa dans la main, me faisant poussé une cri de surprise et de douleur – qu’un episkey soigna rapidement – la seconde s’évapora, la troisième détruisit le bureau du vendeur, la quatrième cracha de la volute noire pas très saine et puante a mort, et la cinquième … je me demande toujours, elle a juste disparue. Enfin ma baguette m’arriva dans les mains, 37 cm bois d’If plume de dragon chinois, de couleur miel. Je la trouvais juste magnifique, et les étincelle dorées et cyan qu’elle créa un enchantement.
Une fois ma baguette en main – je refusai de la lâcher, comprenez-moi … - et les livres dans les bras de mes parents, nous nous dirigeâmes vers la Ménagerie Magique ~ Animaux de toute sortes. La bas j’acquéris un Hiboux grand duc Noir et Brun que je nommai Musk – parce que j’avais envie – et qui me mordit l’oreille avant que Père ne le relâche en lui disant l’adresse de la maison …
Mes trois premières années à Poudlard se passèrent plutôt bien. Je fus placé à Serdaigle – pas vraiment de surprise, c’était soit Serpentard soit Serdaigle, mais avec ma soif de savoir c’était tout vu – et ma cravate se para de bleu et noir. J’appris beaucoup, étudiais encore plus, et me plongeait dans ce que Poudlard avait à m’apprendre, passant un temps plus grand dans la bibliothèque que sur l’herbe du « parc ». Comme tout jeune homme de 12 ans qui se respecte je pris les essaient pour entrer dans l’équipe de quidditch, mais échouai. Cela ne me surpris pas vraiment, vu mon talent tout à fait « normal » pour le vol, je n’étais ni un génie – je ne regarde pas Harry Potter et Draco Malfoy en disant ça – ni un bon a rien – Poufsouffle *tousse* - dans les airs. Je passai, et il y avait ceux qui étaient bon, ils furent pris. Hourra, cela me laissai plus de temps pour apprendre, et je ne perdais pas la face, face à mon père « quoi, tu n’aimes pas le Quidditch ? Mais tous les garçons aiment ça ! » ha ! Je vois …
Ma quatrième année fut une tout autre histoire … L’enfer commençant pour mes 14 ans. Ozzy Hogwarts publia un article sur les " dix cœurs à prendre de Poudlard" et malheureusement pour moi il semblerait que j’en face partit … Dès le lendemain je me retrouvai assaillit de lettre – parfumées a la fraise – de bouquets de rose – parfumé a la fraise – de cadeaux – parfumés ou contenant de la fraise – et j’en passe et des meilleurs. Pendant un cours instant je me suis demandai si quelqu’un a Poudlard n’essayait pas de me tue avec tous ces fruits rouge puant, mais nan. Il semblerait – je l’appris en lisant l’article maudit – que je sois fan de Fraises « comme son Grand Père Tom E. Jedusor ». Monsieur Ozzy, vous pouvez vous mettre ces fraises là où il ne fait jamais jour !
Depuis lors ma vie est un enfer, je suis assaillit de cadeau puant et potentiellement mortel, les filles me suivent dans les couloirs en émettant des gloussements terrifiant et je me questionne sur le fait que je devrais peut être virer Gay et l’annoncer, histoire de les faire fuir. Mais j’ai peur que les garçons se mettent à m’envoyer des choses parfumer a la fraise alors je me tais …
J’ai 15 ans, bientôt 16, je m’appelle Leam Edward Jedusor, je déteste les Fraises et je suis un sorcier. Tout ce qu’il y a de plus normal quoi !
♣ ET NIVEAU PHYSIQUE ?♣ Physique. Ce mot est une malédiction en lui-même. Il paraît que je suis beau, je ne suis pas assez stupide pour penser que je suis laid, mais de la a m’avoir mis dans le top 10 y a une limite non ? Enfin, on n’y peut rien, soyons terre à terre, et entamons une description fidèle, autant que faire se peut.
Je suis plus grand que la plupart des jeunes filles de mon âges, mais plus petit que la plupart des jeunes hommes … Je mesure a peu de chose près un mètre soixante-dix, et chaque centimètre que je gagne est une victoire contre la gravité (cette s*lope !). Je ne suis jamais vouté – sauf quand je suis triste – mais me tiens droit, parce que sinon je vais ressembler à une tortue quand j’aurai fini ma croissante, et la soupe de tortue ça pue. Ma peau est de couleur miellée, une couleur des milliers d’hommes paieraient une fortune pour obtenir – en uv ou en sorts bronzant ! – ce teint halé et cette texture de peau de bébé m’on value bien souvent des regards envieux et des remarque acerbe sur les Gallions que je devais dépenser en cosmétique … j’ai la tête de quelqu’un qui passe son temps à acheter des produits de beauté ? Ne répondez pas à cette question …
J’ai les cheveux blonds d’un rayon de soleil sur un champ de blé, autrement dit un mélange d’or, de miel et de blond bébé. Ils bouclent assez facilement, et j’avoue que ça me prend facilement la tête, mais j’ai beau essayer de les lisser ou de les couper, y a pas moyen, le lendemain ils sont de nouveau là en puissance et en force. Mes « boucles d’or » - ce surnom m’a longtemps suivit – s’enroule délicatement autour de mes oreilles et de ma mâchoire. Mes cheveux ne sont pas coupé « court » a proprement parlé, disons plutôt qu’ils ne sont pas coupé long.
Mes yeux bleus glace ont fait chaviré plus d’un cœur – et je ne me vente pas, si je pouvais je les échangerais contre un vert kaki si ça me permettait d’éviter les fangil complètement folle ! – et la légère bague de bleu marine entourant mon iris ne fait que renforcer ce regard « pénétrant l’âme » dont on parle souvent dans les livres et dont on accuse mes yeux. Je ne vois pas du tout l’âme des gens, ni ce qu’ils pensent, même si j’avoue que ma capacité de déduction supérieur à la moyenne me permet de savoir si on me ment ou pas assez facilement …
Mes mains sont des mains de pianiste – j’aime l’instrument que je joue comme un pied – longue et fine. Mes mains sont souvent refermées sur un livre – je ne suis pas un serdaigle pour rien non plus – aussi peu sont ceux qui remarque, mais elles sont très belle – ma mère me l’a assurée.
Je ne pense pas que décrire le reste soit important. J’ai une bouche, comme tout le monde, rouge comme si mordillée naturellement, et pulpeuse comme celle d’une femme – sh*t ! – mon nez est fin et long – et très sensible, je n’aime pas les odeurs trop forte, un parfum trop puissant me fera éternuer sans répit – et voilà.
Pour ce qui est de ma garde-robe, je varie de la mode moldue dite « street » et « hobo chic » a la bourgeoise « robe sorcière » pour les occasion importante. Mes couleurs préféré son le brun, le gris-noir-blanc ainsi que le rouge pour mes habits.
| | ♣ ET SON CARACTERE ?♣ .STRAWBERRY : je déteste les fraises. Aberrations de la nature, elles méritent de disparaître de la planète ! J’y suis allergique, mais malheureusement quelqu’un –idiot ! - a pensé que je les aimais. Mes « fans », cette bande de folles, m’en envoi au moins un panier par semaine, et je dois m’en débarrasser rapidement si je ne veux pas finir couvert de boutons entrain d’éternuer comme s’il n’y avait pas de lendemain.
.FAME : je n’aime pas être le centre de l’attention. Je laisse ça à Harry bien volontiers ! Je n’aime pas qu’on me regarde avec adoration pour je ne sais quelle raison –stupide j’en suis sure – avec des étoiles dans les yeux. Ces gens ne me connaissent pas, juste ce qu’ils pensent savoir de moi.
.FAMILLY : j’aime ma famille. Père, Mère, Sœur, Grand-mère … non je n’ai oublié personne ! J’ai renié mon grand-père, ce traitre, c’est a cause de lui qu’on m’envoie des fraises ! Je peste et jure, mais si grand-père me demande de l’aide demain, je la lui donnerai sans condition, la famille c’est important.
.BOYS&GIRLS : hum, c’est un secret – pour le moment du moins – mais je n’ai pas de « préférence sexuel ». Enfin, je ne suis pas non plus ouvert à tout – remballez vos bestiaux ! – mais je ne fais pas de choix entre femme et homme. Même si pour le moment les filles me font flipper à me suivre partout comme ça, des vrai stalkers ! J’aime les personnes un peu plus âgées que moi, je ne me sens pas à l’aise avec quelqu’un de plus jeune …
.SCHOOL : ma matière préférée ? Charme et Enchantements à égalités. Plus tard j’aimerai être créateur de barrière magique, je trouve cette discipline absolument fascinante, j’en ai plusieurs libre traitant du sujet d’ailleurs …
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Avatar : DYLAN FORSBERG
Prénom/pseudo : Moony
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Comment as-tu connu le forum ? Chibi Pub ( je suis tombé amoureux du contexte ( j'ai ris !) j'avoue ^^)
Commentaire : Fiche en cours de ocnstruction ^^ |
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Dernière édition par Leam Jedusor le Ven 30 Sep - 7:39, édité 12 fois |
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Serdaigle
❝ : Mort aux tagadas !
❞ : "chapagne et fraise ? Tu veux me tuer avoues ..."
Je suis à : Serdaigle
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On dit de moi que : Je suis un des dix coeurs a prendre ...
actuellement je suis : en fuite !
Et je suis en : Cinquième année
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